20
janv.
2021
Bagarre
Spectacles En Recommandé
Pour les professionnels de la ligue de l’enseignement uniquement
Mende (48)
18h
Les matinées déconfinées
les matinées déconfinées parce que le stop and go ne peut décider à lui seul de nos mouvements intérieurs, parce que nos arrêts successifs et inscrits dans le temps nous mènent dans de drôles d’endroits, parce que nous avons un furieux besoin de nous retrouver, d’alimenter nos rêveries, la Compagnie LOBA lance les matinées déconfinées. Read More
publié le 6 janvier 2021
les matinées déconfinées
parce que le stop and go ne peut décider à lui seul de nos mouvements intérieurs,
parce que nos arrêts successifs et inscrits dans le temps nous mènent dans de drôles d’endroits,
parce que nous avons un furieux besoin de nous retrouver, d’alimenter nos rêveries,
la Compagnie LOBA lance les matinées déconfinées.
Se retrouver à 5 ou 6 artistes, danseuses, danseurs, actrices, acteurs, metteur.e.s en scène, auteurs, poètes en tout genre… pas de parlotte, des traversées de matières et d’imaginaires, nos intimes, nos recherches dont nous ne savons où elles nous mènent… nos solitudes partagées…
Création de Bagarre et Titus
Des nouvelles de Bagarre, création 2020 de la Compagnie LOBA / Annabelle Sergent ! La création du spectacle (initialement prévue les 3 et 4 novembre au THV – St Barthélémy d’Anjou) a finalement eu lieu lors des journées professionnelles du Festival Théâtre À Tout Âge organisé par Très Tôt Théâtre, à Quimper (29). Entre temps, Read More
publié le 3 novembre 2020
Des nouvelles de Bagarre, création 2020 de la Compagnie LOBA / Annabelle Sergent !
A l’occasion de cette première, nous avons dévoilé l’affiche de Bagarre ! 


Itinéraire d’artiste, itinéraire de vie : Annabelle Sergent / par Nova Villa – Reims
« Annabelle Sergent marche d’un pas sûr, jean et pull bleu indigo, elle s’adresse à vous, en plantant un regard franc dans le vôtre. Elle vit comme s’il n’y avait pas de temps à perdre et encore tout à découvrir. L’artiste est une inlassable chercheuse… » Annabelle Sergent a reçu ce week-end un magnifique cadeau de Read More
publié le 21 septembre 2020
« Annabelle Sergent marche d’un pas sûr, jean et pull bleu indigo, elle s’adresse à vous, en plantant un regard franc dans le vôtre. Elle vit comme s’il n’y avait pas de temps à perdre et encore tout à découvrir. L’artiste est une inlassable chercheuse… »
Annabelle Sergent a reçu ce week-end un magnifique cadeau de l’équipe de Nova Villa, à Reims ! Le n°7 de Itinéraire d’artiste, itinéraire de vie lui est consacré et retrace son travail, ses rencontres, son univers…
Itinéraire d’artiste, itinéraire de vie, ce sont des portraits d’artistes, dédiés à des figures de la création jeune public en France, élaborés et publiés par l’équipe de Nova Villa. Une rencontre avec une personne, un.e artiste, son parcours de vie, ses convictions, ses choix artistiques, son univers… Une manière différente de valoriser les artistes et de soutenir la création. Itinéraire n° 7 est consacré à Annabelle Sergent, directrice artistique, comédienne, autrice, metteuse en scène de la Cie LOBA.
Annabelle, nous l’avons accueillie avec ses spectacles, nous l’avons appréciée, nous l’avons accompagnée sur ses projets, nous l’avons vu grandir au fil de ses créations. Annabelle s’est construit un public à Reims au fil des ans. Les retours sont dithyrambiques « talentueuse », “créative”, “chaleureuse”, “généreuse”… Nous pourrions vraiment créer un fan club Annabelle Sergent. Notre histoire avec Annabelle Sergent est ponctuée d’évènements. À Reims elle est aussi chez elle, elle nous donne de beaux rendez-vous…
Joël SIMON, directeur de Nova Villa
Un grand merci pour ce voyage à travers son œuvre !
Merci à toutes les personnes ayant contribué à l’élaboration de ce livre : Karin Serres, Brigitte Livenais, Régis Raimbault, Jean Michel Hossenlopp… Bravo et merci à toute l’équipe de Nova Villa pour ce très bel objet : Joël Simon, Vanessa Gaunel, Charlotte Bazin, Valérie Demay, Isabelle Leseur
Chroniques du déconfinement – à l’initiative de Hélène Soulié et Marine Bachelot Nguyen
Chronique du déconfinement J4. Chute de tension baisse de régime. Le moteur tourne au ralenti, le tigre s’est fait la malle. 8 semaines sur tous les fronts en simultané. Le travail de la compagnie, les réseaux, les mômes, les copines. Tout à la fois, combiner tous ces corps à la fois. Tu as sauvegardé celui Read More
publié le 22 juin 2020
Chronique du déconfinement J4.
Chute de tension baisse de régime. Le moteur tourne au ralenti, le tigre s’est fait la malle.
8 semaines sur tous les fronts en simultané. Le travail de la compagnie, les réseaux, les mômes, les copines. Tout à la fois, combiner tous ces corps à la fois. Tu as sauvegardé celui poétique le plus longtemps possible, différé son effacement loin du plateau. Ton corps de directrice de compagnie et ton corps de mère ont pris le relai. Ton corps poétique n’est pas loin, tu as pris soin de conserver quelques repères.
La nuit. La nuit te relie la nuit pense pour toi. Tu t’es habituée aux réveils étranges, à écouter les premières pensées, celles émergeant du tri nocturne. Fugaces mais précises inscrites dans le corps. Tu fais corps avec tes pensées. Épuisant mais riche. Ton travail se situe là, sans doute. Tu captes, tu emmagasines pensées sensations ups and down, cookies au chocolat, c’est là dans ce rien que ça se joue. Le reste, à la surface, tu actives ton cerveau, tente de lire les trajectoires d’un projet de compagnie, ajuste le cap, vérifie que chacun est à bord, des fois tu rates. Ton cahier est noirci de notes. Tu as appris ça. Tu sais le faire, ça. Tu pourrais lâcher, attendre que ça se dessine pour toi. Mais tu n’es pas seule. Alors tu poursuis. Quand tu es au bord, tu écris help. Elles répondent. Les copines. Tu ris, tu râles avec elles, vous élaborez. La nouveauté consiste à imaginer simultanément plusieurs matrices, un futur matriciel. Avoue que c’est compliqué. Avoue que vous flippez. Mais voilà dans ce merdier, une chose est venu se greffer, une petite chose inouïe, que tu ne sais nommer. Elle s’est doucement aménagé une petite place, tu l’as laissée faire. En d’autres temps tu l’aurais débarquée. Et tu n’en reviens pas, où elle t’a emmenée. Vous vous êtes apprivoisées, la chose et toi. Et voilà qu’ils s’agitent et parlent d?confinement Tu sais que la chose et toi n’avez pas terminé, qu’elle t’emmène sur un sentier qui ne supporte pas l’agitation du dessus, qui réclame ton attention, fine. La même attention qu’en création. Alors c’est cela. Nous en serions là : des êtres crucifères ?…
Ce matin au réveil : vague vivante roulant sur elle-même, elle me fait face, se tenant à distance, j’ouvre le capot rouge d’une voiture le tigre saute du moteur et trace une diagonale. Il sort du cadre. Je ne lâche pas des yeux la vague mais c’est le tigre que je suis. Je quitte le cadre. Hier j’ai vu mon ostéopathe, il ressemblait à un poussin sorti d’un œuf, ébouriffé fragile, il y avait tant de pudeur derrière le masque et la visière, ce même regard croisé chez la couturière, je me suis demandée comment nous retournerions dans les théâtres, me suis dit que peut-être ces lieux de théâtre appelleraient que nous y déposions ces choses traversées ; que la notion même de représentation en serait dézinguée. Requestionnée, profondément. J’ai pensé à Gabily, à la Pythie, à ses premières paroles, pénétrant dans son théâtre, dévasté… j’ai pensé encore aux éventuelles similitudes entre petits pois et création, me suis demandée si tout était sur le même plan…
ce soir au seuil d’une journée vécue en condensée, je prends du champ, fais silence dans mon antre… j’attends la nuit.
Chaque jour une femme artiste écrit (pour un futur inclusif, on s’occupe du déconfinement!)
APPEL A CANDIDATURES – padLOBA – saison 2020/2021
L’appel à candidatures pour les demandes de résidence sur la saison 2020/2021 est lancé. Vous pouvez dès à présent candidater, et ce, jusqu’au 6 juin 2020. A télécharger : demande de résidence 2020-2021
publié le 5 mai 2020
L’appel à candidatures pour les demandes de résidence sur la saison 2020/2021 est lancé.
Vous pouvez dès à présent candidater, et ce, jusqu’au 6 juin 2020.
A télécharger : demande de résidence 2020-2021
Lettre ouverte d’une artiste confinée / Avril 2020
Aux présences dans le vent, Le terreau de vies brûlées. Laisser faire rester éveillée flottante précise aux aguets laisser glisser. Passer d’un lieu de confinement à un autre chaque matin rendez-vous avec les corbeaux du parc, leur envol trace des lignes au-dessus des toits, premier regard vers l’horizon. Fractionné versus continuum. C’est toujours ce second Read More
publié le 29 avril 2020
Aux présences dans le vent,
Le terreau de vies brûlées. Laisser faire rester éveillée flottante précise aux aguets laisser glisser. Passer d’un lieu de confinement à un autre chaque matin rendez-vous avec les corbeaux du parc, leur envol trace des lignes au-dessus des toits, premier regard vers l’horizon. Fractionné versus continuum. C’est toujours ce second que j’ai préféré. Les infimes variations dans le même, les espaces et creux qui se révèlent. Peu. Et beaucoup en même temps. Beaucoup d’appels, de liens professionnels et humains, se soucier des autres celles et ceux qui veillent parce que c’est la veille qui nous relie au vivant. Des dates des chiffres des tableurs excels mais nous le sentons, derrière cela, des rêves auxquels nous tenons des imaginaires qui palpitent des envies. Des textes, une ouverture, là. Un sillon. L’ossature de la structure, devant nos yeux. Du peu. Du peu de temps aussi entre ces choses, et les enfants. Ranger trier sortir du fond des placards la pyrogravure de l’enfance, fabriquer une cabane perchée, bêcher, planter, faire et laisser faire. Laver les coussins de ma mère, celle que j’aimerai tant appeler quand on dit penser à ceux qu’on aime, penser à ceux qui sont perdus. Celles et ceux-là aussi. Penser à elles à eux. Aux murs. Lire. Peu. Lire dans la nuit, Claude Régy. A chaque page sentir que oui c’est cela, que ça tend vers cela. Un ouvrage puis un autre. Laisser faire. Regarder des films. Peu. Myazaki avec les enfants. Regarder émerveillée des grandes forces en action. Le firmament et les entrailles de la terre, la brutalité humaine, sa poésie, les animaux fantastiques. On parle. Beaucoup. Et peu. Ecrire « help » aux copines on sent on pressent qu’on peut glisser, que ça peut déboîter. On se le dit. Et on rit. Prendre soin des autres parce que c’est une manière juste de prendre soin de son propre vivant. Râler aussi, ce qu’il faut pour maintenir le feu vivace ; se soutenir ne pas oublier. Se souvenir. Ecrire, rêver, des couches de rêves. Là encore laisser faire, s’en amuser quelquefois, faire des blagues à son inconscient qui nous le renvoie : tiens voilà un rêve plat. Sourire. Tant pis. Recommencer. Je ne sais pas ce qui se joue. C’est dans les entres. Ça se joue dans les entres. Entre parois entre silences entre nous et vous. Ça se joue encore. Alors jouons, ok c’est le labyrinthe, ok le fil est ténu, ok les parois se modifient. Comprendre cela, ces forces-là. Elles sont pourtant redoutables. Il y a 15 ans j’ai fermé les yeux de ma mère, j’étais à ses côtés au moment du passage, la vie qui reflue dans les entres. J’oublierai jamais. Dans la ville, pétillements d’oiseaux et sirènes d’ambulances. Quelquefois les larmes montent. Il y a 15 ans l’air sentait la fleur aussi. Les lettres je les ai toujours adressées aux absent.e.s.
« J’ai toujours travaillé avec cette idée qu’on atteignait des gens au-delà des gens qui sont matériellement là, et cela par l’intermédiaire justement des gens qui sont là. » Claude Régy, La brûlure du monde
Je me rends compte que je n’écris que pour faire trace aux absent.e.s. Avec les vivant.e.s, je ris, je râle, j’hésite, j’aime, je vis. J’aimerai tellement retourner nager, et jouer. Il est 18h30 ce soir c’est crêpes, et sur vos mains, mes enfants, des traces de chocolat.
Annabelle Sergent
Tribune parue dans le PICCOLO / Avril 2020
Chèr.e.s élu.e.s, Chèr.e.s institutions, Chèr.e.s responsables de structures, Chèr.e.s partenaires, En quelques semaines, la crise du Corona Virus, a mis le pays à l’arrêt, bouleversant tous nos repères et frappant de plein fouet les plus fragiles et les plus précaires. Le secteur du spectacle vivant n’est pas épargné et les inégalités se creusent déjà et Read More
publié le
Chèr.e.s élu.e.s,
Chèr.e.s institutions,
Chèr.e.s responsables de structures,
Chèr.e.s partenaires,
En quelques semaines, la crise du Corona Virus, a mis le pays à l’arrêt, bouleversant tous nos repères et frappant de plein fouet les plus fragiles et les plus précaires.
Le secteur du spectacle vivant n’est pas épargné et les inégalités se creusent déjà et se creuseront davantage si nous n’y veillons pas dès maintenant.
Passé le moment de la sidération, l’heure est venue d’un premier état des lieux.
À titre d’exemple, pour nos quatre compagnies, le 16 mars, les tournées de 11 spectacles se sont arrêtées ainsi que les actions culturelles et les résidences de création. Ceci concerne, tout cumulé, plus de 70 salarié.e.s intermittent.e.s, artistes, technicien.ne.s et personnels administratifs pour l’ensemble de ces projets.
Derrière la réalité des chiffres, beaucoup d’émotion, de tristesse, mais aussi beaucoup d’inquiétude. Pour les salarié.e.s. Pour les spectacles. Et pour l’avenir de nos compagnies, outils essentiels de production et de diffusion de nos travaux artistiques.
Les compagnies sont l’avant-dernier maillon de la chaîne, et c’est à nous que revient la responsabilité de protéger les plus précaires : nos salarié.e.s intermittent.e.s. qui vivent en premier lieu du fruit de leur travail. Ni les allocations chômage, ni le chômage partiel ne pourront compenser la perte des salaires et des heures sur une période aussi longue.
Il est donc de notre devoir d’employeur que chacun.e puisse être rétribué.e sur ce qui était engagé : tournées, résidences et actions culturelles.
L’urgence à l’heure actuelle est que l’ensemble des partenaires qui se sont engagés à programmer des spectacles et des actions artistiques honorent les contrats en cours. Les lignes budgétaires existent quand il s’agit des lieux subventionnés/labellisés ou de municipalités/collectivités dotés d’un budget culturel voté annuellement par l’ensemble des élu.e.s.
La réalité pour nous c’est entre 65% et 95% d’autofinancement, de ce fait, la vente des spectacles est vitale car elle permet d’assumer la majeure partie des frais de fonctionnement inhérents à notre activité, mais également une partie des budgets de production.
Et parce qu’un jour la vie reprendra son cours, nous avons tous intérêt qu’artistes, technicien.ne.s, personnels administratifs, associations, lieux culturels, festivals puissent se relever indemnes.
Il s’agit là d’un point de vigilance que nous devons porter et défendre collectivement. Car si les compagnies ne sont pas payées maintenant – c’est à dire aujourd’hui, à l’heure de régler les salaires et les charges de fonctionnement de mars, puis d’avril et peut-être de mai, juin et juillet – c’est l’ensemble de notre secteur qui sera impacté durablement.
Et nous ne parlons même pas ici des conséquences sur la visibilité de nos spectacles et de notre capacité à mener à bien les créations en cours et à nous engager sur les futures, dont nous sommes souvent les premiers investisseurs.
En tant qu’artistes, responsables de projets et président.e.s d’associations, il nous semble essentiel de partager cette urgence et cette impasse dans lesquelles se retrouvent la plupart des compagnies dont nous sommes solidaires.
Plus que jamais nous comptons sur les valeurs éthiques qui nous réunissent et sur la solidarité de notre secteur pour que les engagements pris soient honorés.
Nous avons hâte de vous retrouver dans les meilleures conditions possibles.
Hauts les coeurs !
Pour la Cie La Boîte à sel – Céline Garnavault, metteuse en scène-comédienne & Marie-Aude Métrope, présidente.
Pour la Cie Les Bas-Bleus – Séverine Coulon, metteuse en scène-comédienne & Géraldine Gambillon, présidente.
Pour la Cie LOBA – Annabelle Sergent, metteuse en scène-comédienne & Michel Auger, président.
Pour la Cie Tourneboulé – Marie Levavasseur, metteuse en scène-dramaturge & Jeanne Menguy, présidente.
« Shell Shock » ou comment revenir de la guerre, par JEAN-PAUL MARI
Parrain du spectacle Shell Shock, le journaliste et écrivain Jean-Paul Mari a écrit un article sur grands-reporters.com, à découvrir ici : https://www.grands-reporters.com/shell-shock-ou-comment-revenir-de-la-guerre/
publié le 14 février 2020
Parrain du spectacle Shell Shock, le journaliste et écrivain Jean-Paul Mari a écrit un article sur grands-reporters.com, à découvrir ici : https://www.grands-reporters.com/shell-shock-ou-comment-revenir-de-la-guerre/
#1 CA CONTE – Portrait Annabelle Sergent
Pour le lancement de Ça conte !, la nouvelle série de La Maison du Conte, la parole est donnée aux conteurs et conteuses de la saison 2019/2020. Premier portrait : Annabelle Sergent, qui se prête au jeu à l’occasion de la sortie en novembre de sa nouvelle création Shell Shock. Représentations au Théâtre Chevilly-Larue André Read More
publié le 22 octobre 2019
Pour le lancement de Ça conte !, la nouvelle série de La Maison du Conte, la parole est donnée aux conteurs et conteuses de la saison 2019/2020.
Premier portrait : Annabelle Sergent, qui se prête au jeu à l’occasion de la sortie en novembre de sa nouvelle création Shell Shock. Représentations au Théâtre Chevilly-Larue André Malraux le 29 novembre 2019 I 14h30 et 20h30.
A découvrir ici : https://lamaisonduconte.com/ressource/annabelle-sergent
Artiste Associée sur la saison 2020/2021
Annabelle Sergent est artiste associée au THV (Saint-Barthélemy-d’Anjou – 49) – pour les années 2019 à 2022.
publié le 21 juin 2019
Annabelle Sergent est artiste associée au THV (Saint-Barthélemy-d’Anjou – 49) – pour les années 2019 à 2022.