Le cycle du vivant est le miroir lumineux du cycle précédent [A quoi rêvent les enfants en temps de guerre]. Au sortir de cette expérience jalonnée des spectacles Waynak et Shell Shock, et aux magnifiques résistances de combattant.es, le cycle du vivant fait résonner des questions sociétales et environnementales avec des objets théâtraux et poétiques.

Tout public, à partir de 10 ans

Nous sommes des arpenteurs. Nous arpentons des territoires imaginaires, en quête de nouveaux récits, pour raconter le monde aujourd’hui.

Ce nouveau cycle fait la part belle à nos capacités de métamorphoses, à nos réserves de joie hirsute. Il met un pied (ou une patte) dans la porte de la fiction qui se referme de plus en plus vite : plus encore pour les CM2 et les collégien.es, ces “grandes” et ces “grands” sommé.es de faire appel à leur raison, aspiré.es par les apprentissages, inquiet.es pour leur avenir qui s’assombrit perpétuellement. Rendons-leur le plaisir de l’imaginaire émancipateur.

LA BÊTE et SAUVAGE sont deux parties d’une même commande de la compagnie autour de nos liens au vivant. Ces deux textes peuvent se jouer indépendamment mais ils sont tellement liés par de nombreux fils poétiques, sensoriels et narratifs que le public gagne à les voir tous les deux, quel que soit l’ordre choisi, comme un diptyque intitulé La bête/Sauvage.

Ces solos sont portés par Jean Durruti, pour le premier, qui travaille au Muséum d’Histoire Naturelle, et par une jeune femme dont on ne connaît que le pseudonyme d’adolescente : Dragonfly, pour le second. Le premier est écrit en favorisant l’ouïe comme sens de perception, le second, la vue et tous deux convoquent l’imaginaire du public, quel que soit son âge, à partir de 10 ans.

Entrons ensemble dans les bois trouver de quoi réalimenter notre feu collectif, rallumer nos histoires sur scène, partager nos perceptions réveillées et nouer de nouvelles relations plus intenses, plus riches, plus pérennes. Dossier à télécharger